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 AZUR | vermine mal arrosée.

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MessageSujet: AZUR | vermine mal arrosée.    AZUR | vermine mal arrosée.  EmptyMar 22 Mai - 17:31

- CARTE D'IDENTITE -

VASILIS
AZUR

feat. scarlett leithold
NOM & PRENOM : Plus qu'un mot attaché à son prénom, Vasilis, du venin en quelques lettres. Ça a empoisonné des tas de vies, butés des tas de gens et elle a laissé derrière elle l'héritage d'années coulées dans l'errance et la malchance. C'est des cadavres qui pèsent sur cette famille, ça empeste la mort et la saleté. Et y'a Azur qui s'y colle, s'y accroche, s'y cramponne, comme tombée amoureuse des ombres que ça cache. Du bleu violence, révèle un ciel où pleuvent des coups bien trop souvent.DATE & LIEU DE NAISSANCE : 24 juillet 1999, à New-York. Gosse échouée sur la Terre, chérie par une mère vite devenu souvenir, un père déjà fantôme, un frère gommé de sa tête. ORIGINE & NATIONALITE : La Grèce coule dans ses veines, moins dans sa langue, qu'elle manie maladroitement. Clandestine débarquée il y a à peine quelques semaines, elle a toujours la nationalité américaine, squatte dans un appartement délabré avec ces deux potes de galère. STATUT MATRIMONIALE Le cœur est resté à des milliers de kilomètres, enfin donné à l'Unique. Azur qui fait mal le deuil d'un bonheur gâché, qu'elle a à peine frôlé du bout de ses doigts niqués.ORIENTATION SEXUELLE : Elle a goûté au sucre des filles, à l'amertume des mauvais garçons, à la douceur de ceux qui savent aimer, elle est allait partout sans savoir où se poser. ACTIVITES : Elle flâne dans les rues de Paris pour l'instant, les yeux et le nez levés vers le ciel, elle s'emmerde, sait pas bien ce qu'elle pourra faire de ses mains criminelles, à présent. ADRESSE : Immeuble Schubert, à traîner dans les couloirs où personne ne s'éternise, à peiner à remonter les marches quand l'alcool la fait tanguer en mauvaise danseuse ivre. COMPTE BANCAIRE : Même le sang bleu qui lui serpente dans les veines ne l'aide plus aujourd'hui. Princesse sans nom, elle a plus rien à cracher de ses poches trouées. CREDITS : neon cathedral. (a) | Morrigan (icon)
choix du groupe :Marginaux
1. Le parfait week-end c'est... ?
Un week-end chez vous, à refaire le monde avec vos potes
■ Un week-end imprévu, organisé le vendredi soir à la va vite.
π Un week-end dans votre maison de vacances, à la mer ou à la campagne
◊ Un week-end enfermé à peaufiner votre dernière création

2. Votre agenda est :
Inexistant
• Raturé, entre les dates des prochaines manifs et celles de vos convocations au tribunal
◊ Des dessins dans la marge, des annotations un peu partout et beaucoup de couleurs pour s'y retrouver.
π Electronique et la plupart du temps c'est votre secrétaire qui le gère à votre place

3. En soirée vous êtes...
π La star, celui/celle qu'on ne peut pas rater
• Celui/celle qui engage les débats
■ Celui/celle qui arrive toujours en retard ou qui annule au dernier moment
◊ Celui/celle qui organise tous les jeux

4. Quand vous hésitez vous ...
■ Faites un tirage au sort, vous n'avez pas le temps pour l'hésitation
◊ Faites un diagramme plein de couleurs pour départager
N'en prenez aucun, vous préférez renoncer plutôt que de regretter votre choix.
π Prenez les deux, vous détestez faire des concessions

5. En couple vous êtes...
◊ Audacieux, chaque jour avec vous est un jour nouveau
• Celui/Celle qui porte la culotte, vous aimez quand ça file droit
Rarement en couple, l'engagement c'est pas pour vous
π Romantique, vous êtes prêt à tout pour séduire celui/celle que vous désirez

6. Les autres vous voient comme...
◊ Un ingénieur(e), la solution à nos problèmes !
• Un/Une révolutionnaire, le Che Guevara des temps modernes
■ Un(e) rêveur(euse), avec vous il plane un air de vacances
π Une personne intéressante, on boit vos paroles !

7. Vous vous considérez comme :
Révolté(e), observateur(trice) et déterminé(e)
π Leader, fort(e) et courageux(euse)
◊ malin(e), altruiste et créatif(ve)
■ sociable, audacieux(euse) et intrépide

" what is a queen without a king ? a queen. "
Le ruissellement violent de l'eau qui coule dans le lavabo qui lui vrille les oreilles, chanson cristalline ne cachant pourtant pas le souffle erratique qui court loin de ses lèvres. L’eau rosie sous le sang qu’elle efface violemment de ses doigts coupables. C’est pas elle. C’est pas vraiment elle. C’est allé beaucoup trop vite pour elle, son esprit encore divaguant des médocs qu’elle gobe en continu pour réussir à dormir. C’est pas sa faute. C’est pas vraiment sa faute putain. Elle essaie d’effacer ses griefs, à griffer la peau sous ses ongles qu’elle coupe jamais. Elle arrive à relever les yeux, à faire face au reflet blême qu’elle entraperçoit entre ses yeux remplis de larmes. Mais elle chiale pas Azur, elle les laissera pas couler les saletés de larmes, preuves ignobles de sa faiblesse. De son esprit qui déraille, un train qui a perdu son chauffeur. Elle cille en observant une trace de sang à l’angle de sa mâchoire, l’envie puissante, viscérale de s’arracher la peau pour la foutre ailleurs, se découvrir de toute la rouille qui s’amourache d’elle, sans cesse, ne la quitte plus. Battements d’ailes ou de paupières, elle ose plus se retourner, revenir là, dans la pièce où elle a laissé le corps et ses mains qui se voulaient baladeuses. Elle revivra pas deux fois la même chose, elle se l’est promis. C’est plus juste un corps qu’on prend, qu’on laisse, qu’on recrache. Elle a promis Azur, elle a voulu du bonheur, maintenant il est fané, juste à cause d’elle et de ses déviances. Brutal sursaut, elle coupe l’eau, d’un passage de la main contre sa mâchoire, elle efface la bavure carmine. Hagarde, tellement hagarde l’Azur. Elle traverse le bar avec des pas précipités. Elle se sait seule. Elle ouvre la porte, elle se fiche qu’on la retrouve. Ou peut-être pas. Il est temps de s’en aller, de dire adieu à sa vie. Peut-être qu’on saura que c’était elle, qu’elle a encore disjoncté. Et lui … Lui, qu’est-ce qu’il pensera d’elle ? Qu’est-ce que l’anneau à son doigt pourra bien vouloir dire si il l’apprend ? Elle ravale les maux coincés dans la gorge, se refuse à gerber sinon elle crèvera là. Elle referme la porte la blonde, sait que des milliers d’empreintes se perdent ici et là. C’est en un tour de serrure qu’elle laisse son passé au pied d’un cadavre.


(LE DÉGÈLE) Azur elle a été princesse, foulant l’argent de ses escarpins, sans jamais en manquer. Elle a bu la richesse jusqu’à la lie, à en être malade, son sang bleu devenu du champagne et son coeur un nid d’avarices. Elle en voulait toujours trop Azur. Elle voulait tellement de choses putain. Gosse qui voulait plus, toujours plus, toujours des trucs en pagailles. Fille unique, trop pourrie par des parents qui espéraient tellement l’enfant. Alors l’enfant est devenu reine, mal éduquée, laissé à la rue comme un électron libre, un aspi à coke à la place du nez beaucoup trop tôt, dix huit piges et déjà accro à l’obscurité qu’offre la nuit. Les parents ont jamais su la gérer. Elle a finit par se tirer Azur, laissant derrière des parents qui ne cherchent pourtant pas à la rappeler. Plus de nouvelles, plus un mots, plus de lettres à chérir depuis deux ans maintenant.

(SATURNE, CA TOURNE) Elle a mal grandit l’ado, elle a mal vécue sa puberté. Elle a eu un bref instant de bonheur jusqu’à ses 16 ans éclatent, jusqu’à ce qu’elle voit trop bien que Papa est pas si beau que ça, que Maman se shoot à l’héro pour réussir à peindre ses toiles, que ce sont deux artistes mal fait, ratés. Des échos de personnes mortes depuis longtemps, qui fonctionnent grâce à la thune qui tombe tous les mois, tous les jours parfois. A défaut d’amour, le mépris a pris la place, a enseveli tout ce qui aurait pu lui donner envie de vouloir rester auprès d’eux. Poupée opaline, elle a finit par se perdre sur un chemin plein d’épines, à s’écorcher contre les mauvais corps, à jouir, vite fait mais mal, à haïr aimer et à aimer haïr. C’est un condensé de haine, de rage mal contrôlée, de rires qui se contiennent pour qu’on la croit inatteignable. Mauvaise gamine qu’on sait pas gérer et qui sait pas se gérer d’ailleurs.

(VENDEUSE DE BONHEUR) Quand à New-York y’avait plus rien qui remplissait le frigo, elle a dérivée, attaquant les racines pourries pour qu’elles lui donnent de quoi beurrer ses assiettes. De consommatrice, elle a jeté de la poudreuse dans les mains des affamés, de ceux qui savent plus rêver par eux-mêmes alors ils ont besoin de ça pour s’extasier sur le monde. Elle a vu des gens étranges l’approcher, des gars prêt à lui ouvrir le bide pour une dose. Elle a vite arrêtée, vite lassée l’enfant, vite gavée de voir que ça rapporte la moitié de ce qu’elle gagne, que c’est pas là-dedans qu’elle veut plonger les doigts.

(LA RUÉE VERS L’EL DORADO) C’est cette nuit-là qu’elle a essayée de fuir, le cœur prêt à éclater en morceaux d’angoisse dans la cage de son corps, à repeindre les murs d’un carmin granuleux. Elle a senti les chairs suintées sous ses doigts quand elle lui a planté le couteau au creux du cou. Personne peut vivre après ça. Personne. Il s’est pas relevé. Enfin, elle en sait rien. Elle a pas voulu revivre les mains intruses sur sa peau, le souffle ignoble au creux de son oreille, l’intrusion empoisonnée entre ses jambes raidies.C’est là que le paradis artificiel c’est ouvert à elle. Les yeux hagards, le corps endoloris, les vêtements encore tâchés d’un élixir pourpre, Azur l’a vu, là, la fixant de derrière la pare-brise, tous les phares de sa bagnole braqués sur elle. A l’arrière, un gars a l’air lunaire, ailleurs, comme défoncé naturellement. Il lui a fait signe de monter. C’était ça … Ça ou finir en taule tout de suite. Elle veut juste retarder son arrêt de mort, le moment où elle ira sur le pilori. C’est comme ça qu’en quelques jours, elle a atterri à Paris. Paris, ville visitée mais jamais vraiment adoptée. Azur elle demande pas d’où vient la thune qu’ils ont amassés pour se conduire jusqu’ici, pour acheter un appart dans lequel ils crèchent à trois. Elle, elle sort rarement, silencieuse étoile qui peine à briller, des souvenirs pleins la tête, des regrets pleins les lèvres. Elle espère un nouveau départ, une nouvelle histoire à écrire, moins périmée que celle qu’elle trimballe en boulet tous les jours. Mais elle sent bien, elle sent le bonheur fragile se fissurer, parce qu’on finit par apprendre qu’elle est partit, qu’elle a mit les voiles sans rien dire, qu’elle a laissé la mort derrière elle.

PSEUDO/PRENOM : LUNAR. ; AGE : 21 piges ; LOCALISATION : from France  AZUR | vermine mal arrosée.  1874026078  ; COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? Le hasard fait bien les choses  AZUR | vermine mal arrosée.  866602732  ; ET T'EN PENSE QUOI ? euh  AZUR | vermine mal arrosée.  4180058425 ; TON PERSO EST... inventé. ; TA UNE CASS-DEDI A FAIRE ? à tous les membres oui oui  AZUR | vermine mal arrosée.  2309749335
 
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